Tourmenté par le passé, un retour à la réalité suffira-t-il ? [Libre]

Tom était dans son lit dopé au doliprane mais rien à faire. Son mal de crâne ne cesser pas et il avait l'impression qu'on lui fendait la tête en deux. Il soupira se leva et écarta légèrement les rideaux. Dehors le ciel était encore bas et noir mais à l'horizon percée une pointe de lumière. Il devait être pas loin de sept heures. Il enfila un jean noir, un tee-shirt noir et sa veste grise. Il prit ses écouteurs et bientôt dans ses oreilles coldplay puis U2 prirent place et entrèrent dans la danse. Normalement un samedi il n'était jamais levé aussi tôt mais le dopage au doliprane n'était pas très recommander quand on voulait passer une nuit paisible. Il soupira et descendit jusqu'au grandes portes avant de sortir. Le froid le frappa de plein fois mais il n'en avait rien à faire. Il s'avança dans le parc et arriva jusqu’à la forêt. Il pénétra à l’intérieur et marcha pendant au moins deux heures. La preuve était que James Arthur avait succédé à U2. Finalement il arriva à une petite clairière. Assise sur un rocher plat se tenait une jeune fille. Comment s'appelait cette fille déjà ? Ah oui Clara C. Clauther. Il avança et fit craquer une branche. Zut. Tant pis. Il vint s’asseoir en face d'elle à un ou deux mètres. Il dit :

- Salut Clauther.

Il retira ses écouteurs et s'alluma une cigarette. Il fumait très peu. Mais là en l'occurence son mal de tête pourrait peut-être s'apaiser un peu... Mais si pour ça il devait faire ce qu'il rechignait un peu à faire quand il n'était pas seul. Il projeta sa fumée loin d'elle et déclara en voyant ses yeux un peu rouge :

- Ça à pas l'air d'aller...

Tom voyait bien qu'il gênait la jeune fille. Au dernières nouvelles il n'était ni débile, ni aveugle. Il soupira et tira une nouvelle bouffée. La jeune fille lui dit son prénom mais, Tom le connaissait déjà. Enfin bon pas la peine de ce a mettre à dos elle préférait peut-être qu'il l'appelle par son prénom. A elle de voir. Lui en général il préférait qu'on l'appelle par son nom lorsqu'il faisait de même mais bon. Il pouvait comprendre qu'on n'ai pas l'habitude. Lui c'était ce qu'il faisait dans son pensionnat en Angleterre. Jusqu’à ce que ses parents déménagent quoi. Heureusement Analissa, elle, n'avait pas quitté le pensionnat. Elle n'avait pas de pouvoirs t toutes ses amies étaient là-bas. Tom ne pouvait pas dire que celle qu'il considérait comme sa jumelle ne lui manquait pas. Non elle lui manquait affreusement. Il lui écrivait au moins un lettre par jour et la jeune fille de l'autre côté de la Manche faisait de même. Finalement il remarqua la respiration de plus en plus forte de la jeune fille. Il sortit de ses pensées et la fixa l'air interrogateur. Finalement il ne dit rien mais toutes ses paroles passait dans ses yeux. Pas tellement de questions seulement une seule parole. Si jamais t'as besoin de quelque chose que je te fournir... Hésite pas. Finalement il répondit d'une voix détachée :

- Moi c'est Tom.

Il finit rapidement sa cigarette et l'écrasa contre le rocher. Il mit le mégot dans un petit bout de papier qu'il rangea dans sa poche. Il avait toujours pensé que la nature n'était pas un dépotoir et c'était pas aujourd'hui que ça changerait. La jeune fille n'avait pas l'air de calmait sa respiration bien trop forcée selon le jeune homme. Il murmura :

- Ca va ?

Il n'était même pas sur que Clara l'ai entendu.

Tom ne fut pas si étonné lorsque il la vit s'enfuir. Elle ne semblait vraiment ne pas aller bien. Tom entendit des sanglots et aperçut des arbres tombaient. Il haussa les sourcils mais laissa la jeune fille tranquille quelques minutes le temps qu'elle se calme. Après tout, tout le monde avait le droit à sa fierté et à son jardin secret non ? Finalement lorsque il n'entendit plus rien il se leva et s'approcha lentement. Il baissa la tête et aperçut Clara au sol contre un arbre seul rescapé dans un rayon de cinq mètres. Il ferma les yeux et se baissa. Il s'accroupit et posa doucement, tout doucement sa main sur l'épaule de la jeune fille. Il ré-ouvrit les yeux et déclara d'une voix douce :

- Tu sais... Si jamais t'as besoin de quelqu'un à qui parler ou... Simplement avoir une présence même silencieuse... Ca me dérangera pas de le faire.

Il lui fit un sourire gêné et timide, les joues toutes rouges. A part à Analissa et à Jake il n'avait jamais proposé son aide à personne. Analissa... Elle ressemblait tellement à Clara. Les mêmes cheveux bruns les mêmes yeux chocolat... Les deux jeunes filles se ressemblaient tellement. Une ombre passa dans le regard du jeune homme. Il baissa la tête retira sa main et s'assit à son tour contre le tronc. Depuis qu'il avait déménagé et qu'Ana était restée là-bas il s'était juré de ne plus rien ressentir. De ce forgé une carapace étanche à l'eau polluée qu'étaient les sentiments. Mais Clara ressemblait trop à sa petite sœur. Elles n'étaient pas des jumelles mais pour qui connaissaient bien Analissa la ressemblance était... frappante. Il ferma douloureusement les yeux sentant les souvenirs affluaient vers sa tête. Il tenta de les retenir mais c'était comme essayer d'empêcher une inondation. On à beau faire tout ce qui est en notre pouvoir l'eau pénètre. Et on à plus qu'a abandonner. Et c'est ce que Tom fit. Il n'avait plus vus sa petite sœur depuis cinq ans. Il saurait encore la reconnaitre seulement grâce au photos qu'elle lui envoyait régulièrement. Des larmes coulèrent le long de ses joues. Il se refusa à relevait la tête. Son père lui avait toujours dit qu'un homme ne pleurait pas.

Tom fut un peu sonné. Il ne s'attendait pas à une telle révélation. Mais il comprenait mieux pourquoi les rumeurs disaient qu'elle était méchante et solitaire. Elle ne voulait sans doute plus voir personne. Logique en un sens. Un peu bizarre mais logique. Mais le jeune homme voulait comprendre. Il déclara donc :

- Explique moi.

Le jeune homme s'assit à côté d'elle et tourna la tête vers la jeune fille attendant un e réponse juste et franche. Mais peut-être que cette réponse ne viendrait jamais. Si elle ne voulait pas s'attacher aux personnes il n'avait aucune raison qu'elle fasse une exception pour lui. Elle ne le connaissais même pas. Le jeune homme la fixa dans les yeux. Attendant une réponse. Tom voulait savoir.

Désoler :

Dans ce cas ce n'était pas sa faute. C'était loin d'être sa faute. Le jeune homme extirpa un paquet de mouchoirs de sa poche et en sortie un pour le donner à la jeune fille qui était en face de lui. Il lui sourit. Il ne pouvait pas les détester cela lui était impossible. Juste impossible. Elle n'était pas une meurtrière. Elle était simplement victimes de sautes de magie comme beaucoup de gens à cet age. C'était juste survenu au mauvais endroit, au mauvais moment et avec la mauvaise personne. Il lui mit une main sur chaque épaule et déclara en la fixant dans les yeux :

- Écoute moi bien. T'es pas une meurtrière. T'as juste voulut protéger ta meilleure amie. Et ta magie a sentie ton inquiétude. Elle à réagi instinctivement. J'ai lu de nombreuses choses là-dessus. Ce n'était pas vraiment toi. C’était ta magie à l'état pure et malheureusement trop brutale. C'est pas ta faute. OK ?

Je lui fis un sourire et enleva les mains de ses épaules avant de m'asseoir en tailleur face à elle attendant une réponse.

Le jeune homme lui sourit douloureusement. Il comprenait très bien ce qu'elle voulait dire. La culpabilité qui te ronge toute ta vie... Il connaissait bien ça. Bien sûr il n'avait tué personne mais tous les jours à toute heure et malgré sa volonté de se convaincre du contraire... Il savait qu'il avait bel et bien abandonné sa petite sœur. Certes elle avait voulu rester mais tout les jours Tom ce disait que dans ce cas il aurait dû faire son travail de grand-frère et restait à ses côtés pour la protéger... Malgré le fait que la plupart du pensionnat le détester pour ses pouvoirs. Mais non il avait choisi la solution de facilité. Et tous les jours depuis de longues années il se maudissait. Il ne sourit pas et ne ce moqua pas à la question de Clara. Elle était tout ce qu'il y avait de plus normal après tout. Elle voulait simplement réparer ses erreurs. Mais dans un sens heureusement que ce n'était pas possible. Trop de personnes voudrait se sacrifier. Des personnes qui en aurait marre de la vie et qui voudrait arrêter tout en faisant un beau geste. Il répondit :

- Non je ne crois pas. En tout cas la vie n'en a pas décidé ainsi. Et puis ce serait dommage. Trop de gens partiraient pour réparer leurs erreurs. Des gens fantastiques qui n'ont juste pas l'occasion ou l'envie de le montrer. Des gens fantastiques comme toi.

Tom rougit, il ne savait même pas pourquoi il avait dit ça. Mais c'est vrai que la jeune fille était fantastique. Elle voulait se sacrifier pour réparer ses erreurs et elle lui avait fais confiance. C’était certes un peu égoïste de penser qu'elle était fantastique car elle lui avait fait confiance mais c'était ainsi que Tom le voyait. Peu de gens lui avait fait confiance dans sa vie.

Tom la fixa dans les yeux et sourit doucement. Mais elle avait tort il n'était pas fantastique. Il avait abandonné la meilleure des petites soeurs. Il déclara doucement :

- Je ne suis pas fantastique... J'ai... J'ai abandonné ma petite soeur en Angleterre. J'ai vécu pendant treize ans en Angleterre. Ma soeur et moi étions dans un pensionnat extrêmement rigide et très à cheval sur les règles. Ma sœur avait ses amies et moi je n'avais qu'elle. Tout le pensionnat me détestais à cause ds choses étranges qui se passait quand j'étais près d'une étendue d'eau. Alors lorsque mes parents on décidait de déménager en France je les ai suivis alors que ma soeur est resté en Angleterre. Bien sur elle en avais envie mais je me suis toujours dit que j'aurais du resté auprès d'elle pour la protéger même si ça impliqué de supportait les brimades. Et aujourd'hui je suis tellement lâche que je suis incapable d'y retourner pour faire ce que j'aurais dû faire dés le début...

Le jeune homme baissa piteusement la tête. Il cumulait vraiment les défauts. Lâche, ridicule et pitoyable. Pathétique. Son père aurait honte de lui. Vraiment honte. Il soupira avant de retourner s'asseoir aux cotés de la jeune fille il avait trop mal au dos. Il prit lui même un mouchoir et se moucha discrétement. Il le rangea dans sa poche et sourit à Clara. Finalement il déclara :

- Les autres sont bien bêtes de ne pas vouloir te connaitre. Tu es vraiment gentille. Ton mascara est water-proof ? Si ce n'est pas le cas tiens.

Il sortit un troisième mouchoir et projeta un petit peu d'eau dessus avant de le tendre à la jeune fille avec un sourire.

Différente ? Les rumeurs porté à croire que oui même si Tom n'avait jamais cru a ces inepties. Mais si c'était vraiment le cas pourquoi était elle différente avec lui ? Il prit un air pensif et leva la tête vers le ciel pour mieux réfléchir. Elle n'avait aucune raison d'être différente ou gentille simplement avec lui. Alors le seul mot qui tournait dans sa tête en une douce litanie était : Pourquoi ? Finalement le jeune homme prit son courage à deux mains et décida d lui demander. Peut-être qu'elle ne se vexerait pas :

- Dans ce cas... Pourquoi es-tu différente avec moi ? Tu n'as aucune raison... Non ? Au fait bien que cela n'est aucun rapport, ton maquillage n'est pas horrible mais j'ai pensé que lorsque on sortirait de la forêt tu n'aurais pas envie d'avoir des traces noirs sous les yeux.

Il lui sourit gentiment. Il savait que la plupart des filles étaient du genre coquette et détestés paraître négligée. En tout cas c'était le cas de sa sœur et de la plupart de ses amies, bien que Annabeth (une des amies d'Analissa) cultivait plutôt le style sportif que pot de peinture. Lina et Lauren les deux autres amies de sa soeur étaient plutôt comme ça. Et aux yeux de Tom, seule Annabeth méritait sa sœur. Les autres étaient deux pestes. Tom c'était d’ailleurs souvent débrouillait pour qu'Ana passe plus de temps avec Annabeth. Et cela avait porté ses fruits la jeune fille ne sortait plus couverte de maquillage, d'ailleurs l'ainé des Holmes lui en avait fait le compliment.Il se souvenait que sa petite sœur l'avait traité de débile en rigolant et une longue course poursuite s'en était suivie. D'ailleurs Annabeth était venu se joindre à la cadette et ensemble elles avaient attrapés Tom et l'avait chatouillé jusqu’à ce que celui-ci retire ses paroles en riant et en les suppliant d'arrêter. Soudain la réponse de la chef du clan de la terre le ramena à la réalité.

Tom haussa les épaules et lui sourit. Si elle n'avait pas de réponse ce n'était pas bien grave au fond il n'en avait pas vraiment besoin. Seul le présent, les actions et les choix comptaient. Le pourquoi du comment ne l'intérrésait pas vraiment dans ce genre de situation. Bien sûr lorsque il lisait ou qu'il assistait à un cours c'était différent. Soudain il entendit Clara parlait. Il n'osa pas demander qui était Alizée. Au fond de lui il le savait. Il était presque sûre que c'était la meilleure amie dont elle lui avait parler plus tôt. Après tout cela faisait parti du jardin secret de la jeune fille. Non ? Ah... Finalement il se décida à poser la question :

- Tu n'es pas obliger de me répondre si tu n'en à pas envie mais... Alizée c'est ta meilleure amie. Je me trompe ?

Il la fixa dans les yeux. Il ne la prenait pas pour une folle il voulait simplement savoir. La curiosité est un vilain défaut que possédait Tom en énorme quantité. Pas sa faute non plus. Il était curieux et il ne compter pas changer pour faire plaisir aux autres. Non mais.

Tom ne suivit pas la jeune fille. Il n'allait pas violé l'intimité de quelqu'un et encore moins celle d'une fille. Cela pouvait sembler vieux jeu mais c'est comme ça qu'il avait été éduqué. L'internat avait surement beaucoup joué dans ce qu'il était aujourd'hui. Il remit ses écouteurs sur ses oreilles et lança Wherever You Will Go. Bientôt la voix de The Calling pénétra dans ses oreilles et il ferma les yeux en souriant. Il commença doucement à chanter (plutôt bien d'ailleurs) Sa voix prenait doucement de l'ampleur tout en résonant dans la forêt. La forêt. Sûrement un de ses lieux préférés. Calme, simple, silencieuse. Et normalement vide mais la présence de Clara ne le dérangeait pas le moins du monde. Finalement il s'arrêta et rouvrit les eux. Il s'aperçut que Clara était revenu. Il retira ses écouteurs et déclara :

- Elle te parle pas vrai ? Écoute là juste une fois jusqu'au bout. Elle veut surement te dire qu'elle te pardonne. Moi aussi j'avais l'impression d'entendre la voix d'Analissa mais plus vieille. Un jour je l'ai complétement écouté. Elle ne m'en voulait pas. Et depuis je ne l'ai plus entendu. Tu ne crois pas que ca vaut le coup d'essayer ?

Je la fixais dans les yeux en souriant attendant une réponse.

Tom fut un peu surpris lorsque la jeune fille posa la tête sur ses genoux. Mais finalement il lui sourit et passa de façon un peu tremblante et très timide ses doigts dans les cheveux de la jeune fille. Il avait un peu... Non bon d'accord très peur de se faire repousser. Ses cheveux étaient doux comme de la soie et sans aucun nœud. Il sourit timidement à Clara lorsque elle leva les yeux vers lui et finalement répondit :

- Est ce que quand tu lui parle elle te répond ? Tu pourrais peut-être lui confiais tes craintes... Et elle resterait. Non ? En tout cas quelque soit l'issue si t'as besoin de moi... Hésite pas.

Il lui sourit gentiment et pensa "Je dois être terriblement ridicule..."

Tom passait sa main dans mes cheveux. J'avais qu'un seule envie. Que le temps s'arrête. Juste rester là, comme ça. Ne plus bouger. Ne plus rien faire. Que le temps se fige, juste rester allongée avec lui. Je ne savais plus quoi faire. Relever la tête vers lui ? Ou rester comme ça, les yeux fermés ? J'avais très envie de rester là les yeux fermés, ais j'opta finalement pour la première option. Je releva la tête vers lui.
- Est ce que quand tu lui parle elle te répond ? Tu pourrais peut-être lui confiais tes craintes... Et elle resterait. Non ? En tout cas quelque soit l'issue si t'as besoin de moi... Hésite pas
Lui confier mes craintes ? Qu'est ce que j'aimerais. Ce serai comme avant. Je lui confierais tout, elle m'écouterait durant des heures, elle commenterais ce que je lui disais. Me donnant des conseils, se moquant de moi. Ou plus simplement, elle agirait comme une meilleure amie. Mais ce temps était fini. Elle était morte, elle ne pourrait plus jamais être assise dans l'herbe avec moi. Se plaignant que l'herbe lui chatouillait les jambes. Et moi à côté, je lui jetterais de l'herbe dessus. On rigolerait toutes les deux. Comme avant, comme quand j'étais encore heureuse et non détruite comme maintenant. Et pourquoi voudrait-elle rester avec moi ? Après ce que je lui avais fait...
-Oui, elle me répond. Je sais que je devrais essayer, mais j'ai tellement peur de sa réponse. Tellement peur qu'elle me haïsse pour toujours. 
Je souleva un instant la tête pour pouvoir le regarder dans les yeux. 
-Merci...Pour tout.
Merci ? Depuis quand je disais merci moi ? Oh et puis Mer...credi. Ça n'allait pas me tuer. Et puis c'était Tom, c'est différent...Non ? Je reposai alors ma tête. Fermant à nouveau les yeux. Essayant de faire le vide. De ne plus penser à rien. Simplement de profiter de ce moment.

Le jeune homme lui sourit gentiment et répondit doucement :

- Tu sais... Vu comment tu me la décris je ne pense pas qu'elle sera méchante. T'as les yeux qui brillent quand tu parle d'elle. Et tu sais quand t'as les yeux qui brillent t'es vraiment magnifique.

Tom eu les joues rouges tomates en disant ça mais lui sourit timidement. Puis mû par on ne sait quel instinct il se baissa doucement et lui fit un petit baiser sur le front juste à la limite de ses cheveux. Il releva son dos au bout de quelques secondes et regarda ailleurs un peu beaucoup gêné. Finalement il déclara :

- Hum... Je suis désoler je sais pas ce qui m'a pris. Pour en revenir au sujet tu sais ce que je fait moi quand ça va pas ? J'écoute de la musique. Tu veux essayer ?

Il mit un écouteur dans son oreille tout en lui en tendant un en la fixant dans les yeux et en lui souriant. Elle le prit et Tom sortit son Ipod de sa poche. Il brancha les écouteurs et lança Kyo en mode aléatoire. Le hasard voulut que ce soit "Dernière Danse" qui résonna dans leurs oreilles. Il ferma les yeux et chanta doucement pour ne pas déranger la jeune fille sur ses genoux.