Si il n'était pas arrivé, je ne serais surement plus de ce monde[PV: Damon]

La lune brillait dans un ciel sans nuage. Alexandre et moi étions de sortie pour explorer la forêt. Je lui avais demandé de m'accompagner et il avait gentiment accepté. Je savais qu'il était aussi très intéressé mais je m'en fichais. Je n'étais pas seule dans ce bois apeurant. Les arbres craquaient et faisaient d'étranges bruits sous nos pieds et je maudissais notre "discrétion". Pourquoi nous étions là? A vrai dire, je ne voulais simplement pas me coucher. La nuit, mes rêves me hantaient, je faisais des insomnies, et je passais mes nuits entière à mes ronger les ongles. Je préférais largement passer du temps avec un garçon que à pleurer dans mon lit. Surtout si je lui plaisais ça en devenait encore plus drôle. Il était gentil, attentionné, il s’occupait adorablement de moi. Alexandre s'était arrêter quelques mètres devant moi pour m'attendre et se reposer. Nous décidâmes de nous assoir un moment sur l'herbe douce. Je m'étais allongé sur le sol pour calmer ma respiration haletante. J'avais sentie mon t-shirt se soulevé et des mains se poser sur mon ventre nu. Alexandre était lui aussi allongé mais lui s'était sur moi qu'il l'était. Il faisait glisser sa paume sur ma peau et enlevais à chaque possibilité un de mes vêtements.
Je lui demandais d'arrêter en lui disant que je ne souhaitais pas tout cela de lui. Pourtant il enleva mon t-shirt et le jeta un peu plus loin. Il s'attaqua ensuite à mes sous-vêtements. C'est ici que je décidais de le frapper et de le repousser. D'un coup, sans que je puisse bouger, je sentis une main s'abattre sur mon visage. Alexandre avait commencé à me frapper. Je me mis à crier, à le supplier d'arrêter mais rien n'y faisait, il continuait de me griffer la peau et de me provoquer des bleus sur tout le corps. Je me recroquevillais sur moi même à chaque coup et les larmes coulaient sur mes joues en sang. Ma lèvre inférieur était coupé, une large entaille se profilait su ma joue et un énorme bleu sur l'épaule se voyait déjà. Je ne bougeais plus. Soudain les chocs s'arrêtèrent et la place je sentis les mains d'Alexandre essayer de continuer à me déshabiller, mais quelque chose l'en empêcha.

Des aboiements et des bruits de bagarre. J'entendais les coups qui s'échangeaient et Alexandre qui jurait. Je continuais à pleurer et à greloter à cause du froid. Le vent glissait sur mon corps quasiment nu maintenant. Le garçon qui était arrivé, surement un autre élève, frappa Alexandre et le fit déguerpir.Il y avait un chien, un gros, qui avait l'air énervé lui aussi. Puis une boule de chiffon m’atteins. J'ouvris les yeux pour regarder ce qui se passait. L'homme, qui se révèlait assez grand, m'avait redonné mon t-shirt.
 - Rhabille-toi.
Je connaissais cette voix, c'était celle de Damon Salvatore, mon CPE. Je levais la tête vers lui, le regard encore dérouté et affolé. Il m'avait sauvé, sauvé la vie. Je ne ferais plus parti de ce monde si il n'était pas passé par ce coin de forêt. J'essayais de me redresser pour me rhabiller mais la douleur qui s'échappait de tous mes membres me fit gémir bruyamment. Je décidais d'enfiler mon T-shirt allongé pour ne pas trop souffrir. Puis je m'appuyais contre un tronc d'arbre et levais la tête vers le jeune homme. Son regard était rivé sur moi et il paraissait en grande réflexion. Il était encore plus beau ainsi, avec ces sourcils légèrement froncés et ses cheveux ébouriffés par la bagarre. Je savais que des sentiments étaient née entre nous mais je savais qu'ils ne seraient jamais dit, jamais avoué. Il était plus vieux que moi et surtout, il était mon CPE et il risquerait de se faire virer si on nous surprenais ensemble. Je soupirais sans vraiment le vouloir car je savais qu'il m'entendrait.
-Merci beaucoup Damon. Si tu n'avais pas été là je pense que je ne serais surement plus ici à présent.
Je frissonnais de nouveau à cette pensée. J'essayais de me lever une nouvelle fois et cette fois ci je réussi. Je passais une main sur mon visage pour enlever la terre qui s'y trouvait et l'entaille sur ma joue m'arracha un petit cri. Le sang se remit à couler et quelques gouttes tombèrent au sol.
-Aïe!
Je mis  à marcher, hésitant un peu, sachant que j'aurais du mal à mettre un pied devant l'autre. J'avais raison après quelques mètres, je m'écroulais à terre. Je grognais de mécontentement  et me relevais pour réessayer. J'en étais capable! Je me remis à tituber vers Damon et posais une main sur son épaule quand je fus à ses côtés.  Puis je plongeais mon regard dans le sien et lui souris. Il était si .... attirant!
-Je te dois vraiment la vie Damon!

Il fit un geste pour m'aider à me relever mais je remarchais déjà. Quand je fus à sa hauteur et que je lui souris, il me souris en retour.Puis il secoua la tête de façon amusé.
- Tu auras pu te défendre sans moi ; tu contrôle le feu, Katniss. C'est dans ces cas-là que c'est utile.
C'est vrai j'aurais pu, mais j'étais tellement traumatisé à l'idée qu'il me fasse quelque chose qu'aucun de mes membres n'avaient voulu bouger. J'étais paralyser par la peur. C'est pour ça que je m'étais laissé faire, en espérant qu'Alexandre est un peu d'estime pour lui même et qu'il me laisse partir. Pourtant dans un petit coin de ma tête, la voix que je mettais souvent en sourdine me murmurait le contraire. Je savais bien qu'il allait continuer à me battre jusqu'à ce qu'il ait ce qu'il voulait.  Je secouais moi aussi la tête pour démentir les paroles de Damon mais aussi de la petite voix. Damon me sourit gentiment et je ne pus retenir mes lèvres de former elles aussi un sourire éblouissant.  
- Montre-moi ta joue.
Il me saisi doucement le menton et inspecta ma joue gentiment. Je sentis les battements de mon coeur accélérer légèrement et une lueur de joie éclaira mon regard. C'était une des premières fois qu'il me touchait si agréablement, comme si à un moment notre liaison était réelle et possible.
- Il faudrait désinfecter, suis-moi.
Il attendit que je me mette en marche pour se diriger vers le bâtiment des enseignants. Il marchais doucement pour que j'arrive à le suivre sans trop avoir mal et je lui en fus reconnaissante.  
Enfin dans la chambre de Damon, il m'assis sur son lit et je sentis de nouveau des palpitations. Il me désinfecta calmement, son chien roulé en boule du le lit à mon côté.  Quand il eut finit, il se leva et alla jeter la compresse dans la poubelle près de son bureau. Je le suivis du regard et souriais en le voyant se retourner pour me regarder.
- Voilà, c'est fini.
Pour les bleus, je devrait attendre qu'ils disparaissent de même, ce qui ne durerait que quelques jours. Pendant ce temps je mettrais des pulls ou de la crème pour les camoufler.
-Merci. murmurais-je doucement, en un souffle. Je fermais les yeux un instant pour mémoriser ce moment qui ne se renouvellerais surement pas. Je devais lui avouer. Même si ça devait supprimer les petits liens qui nous unissais déjà. Mais pourtant je redoutais ces 2 petits mots, ces 7 lettres si difficile à prononcer! Surtout qu'il ne devait surement pas penser la même chose que moi. Je le sentais, il ne ressentait rien pour moi, a part peut-être de l'amitié.  Il fallait pourtant que je lui avoue ces sentiments tant redouté. Je me levais, oubliant toutes douleur à cause de la peur qui me nouait le ventre.
-Il faut que je t'avoue quelque chose Damon...
Je laissais ma phrase en suspend tandis que je m'approchais de lui. Un frisson me parcouru quand je croisa son regard bleu. J'attrapais ses mains dans les miennes et baissais les yeux vers le sol.  Et finalement, je décidais d'affronter ses yeux glacé. Ils étaient encore plus magnifique qu'à leurs habitude.  Bleu, comme l'eau, comme un iceberg, comme le ciel un jour de grand soleil. Je pris mon courage à deux mains et prononçais la phrase qui me faisais peur.
-Je crois que je t'aime...
Puis je rabaissais les yeux décidant de ne pas le regarder pour ne pas voir sa haine envers moi.

Il ne releva rien, ne dis rien jusqu'à ce que je prononce les mots interdits. Il était là à me regarder. Sans formuler un seul mot. J'étais tétanisée, il m'était impossible de bouger par peur. Oui toujours cette angoisse de la question "Il m'aime ou pas?". Il ne répondrais pas, c'était sur!
- Écoute Katniss... Je sais que l'on ne peut pas contrôler ses sentiments, mais il ne faut pas... Je suis ton CPE, on n'en a pas le droit.
La première émotion qui me submergea fut la tristesse, il ne me désirait pas, il n’éprouvait rien, rien du tout! Puis un petit mot revins dans mon esprit. "On". "On" pouvait signifier énormément de chose, mais la seule signification qui me vint en tête fut qu'il avait parler d'un "on". Ce n'était pas banal tout de même! Peut-être qu'il m'aimait finalement, peut-être qu'il avait juste peur des conséquences. Je sentis les mains de Damon se dégager de l'emprise de mes paumes et je levais les yeux vers lui. Ma bouche était entrouverte et ma respiration était saccadé comme à chaque fois que je comprenais que l'homme que j'aimais ressentais la même chose. Je me mis sur la pointe des pieds et posait délicatement mes lèvres sur les siennes. Je glissais mes mains dans ses cheveux et mit plus d'ardeur dans mon baiser.

Les lèvres de Damon répondirent rapidement à mon baiser et j'en fus soulagé. Cela prouvait qu'il m'aimait! Il passa ses mains sur mon cou, les posant tranquillement contre ma nuque. Désir et passion vinrent se mêler au tendre baiser que nous échangions déjà avec beaucoup d'ardeur.
Pourtant, malgré tous les sentiments qui s'échangeait entre nous deux, Damon y mis fin. Je le regardais étonné et légèrement peiné. Mais je savais pourquoi il avait fait cela. Je comprenais. Nous ne pouvions pas, il était mon CPE, mon chef hiérarchiquement et puis il risquait de perdre son poste, ce qui m'empêcherait de le voir. Je ne souhaitais pas cela! Je voulais juste l'aimer en paix, sans redouté les conséquences de cet amour interdit. Il me regardait, sans se reculer, sa bouche se trouvant encore à quelques centimètres des miennes. Si je le voulais je l'aurais faire taire en l'embrassant mais je savais que cette fois ci il me repousserait.
- Écoute Katniss, je t'aime, mais...
Il m'aimait! Cela me suffisait. Si il le fallait, j'attendrais de quitter cette école pourri pour pouvoir l'aimer tranquillement!
Il s'était arrêté de parler, comme si il redoutait ses paroles. Pourtant ce n'est pas ça qui l'arrêtait.
- Non, cela n'a aucune importance.
Ses paroles n'étaient qu'un murmure, doux et sensuel, en tout cas c'est ce que m'inspirait sa voix.  Ses lèvres revinrent se poser sur mes lèvres et je fermais les yeux pour m'émerveiller de l'amour qui nous unissais. Je n'arrivais pas à penser à autre chose qu'a ses mains qui me chatouillaient la peau. D'ailleurs, elles descendirent contre mon ventre et me poussèrent contre le mur le plus proche. Damon ne semblait pas se rendre compte de son geste mais justement ça me plaisait. Cela prouvait qu'il s’abandonnait à moi. Ses lèvres avait glissé dans mon cou et caressait doucement ma peau. Je frémis de plaisir en sentant sa bouche contre ma peau.  Je passais mes mains sur son torse et les plaçaient contre ses hanches pour attraper son T-shirt.  Je lui enlevais rapidement, pour qu'il continue ses baiser contre mon cou.  Je le poussais légèrement pour le faire tomber sur son lit. Son rottweiller nous regarda un moment avant de comprendre qu'il valait mieux descendre du lit.  Je posais mes lèvres contre son torse, mes cheveux s'éparpillant sur sa peau nu. Mes mains caressait son torse et l'embrassait amoureusement. En un souffle je lui murmurais à l'oreille.
-Fais ce que tu veux de moi...
Et je me mis à rire de bonheur. Il était à moi maintenant!

Les mains de Damon caressaient doucement mes hanches afin d'enlever mon débardeur, qui se retrouva bien vite au sol. Ses lèvres parcouraient mon cou, mon ventre et revinrent sur mes lèvres pour m'embrasser furtivement.  
Un bruit me réveilla le lendemain. Damon s'était levé, et se rhabillait rapidement. Je sus que mon rêve éveillé allais se finir  à ce moment. L'aube ne s'était même pas encore levé dans le ciel et l'air était frais.  Damon, pensant que je dormais toujours, me secoua doucement pour me réveiller. J'ouvris les yeux et lui souris. Il avait un petit duvet sur le menton qui laissait penser à une légère barbe.
- Katniss, il faut que tu retourne à ton dortoir avant que quelqu'un ne se rende compte de ton absence !
Je fus surprise de sa voix inquiète et surprise. Je me redressais entourant les draps autour de mon corps entièrement nu. Il était pressé et je compris enfin pourquoi. Il avait peur que quelqu'un arrive.
- Dépêche-toi ! Me pressa t-il.
Je me levais attrapant mes vêtements et les enfilant à la va vite.  Il me chassait ainsi après la nuit de rêve que nous avions passé? Non je ne devais pas le prendre comme ça, il avait juste peur pour moi et pour son.... poste! Il préférait mon poste à notre amour!  Je le savais, depuis le début en plus. Je sentais la rage monter en moi. J'allais exploser d'une minute à l'autre et je n'arriverais pas à me retenir. Sinon je pleurerais. Autant crier au moins j'aurais une raison pour ne pas répondre en cours!
-Tu me vire comme ça, sans rien ajouter. Je me demande vraiment pourquoi j'ai couché avec toi!
Je m'approchais de lui menaçante, ma voix était cassante et tout ce qui se lisait sur mon visage était de la rage. Pourquoi me traitait-il comme cela alors qu'il était censé m'aimer? Qu'il ne m'approche plus jamais, a moins que là maintenant à cette minute précise il m'embrasse et me prouve qu'il m'aimait! Et je doute qu'il le fasse. Il préférait son poste!  Une larme coula sur ma joue, je ne sais si c'était par tristesse ou par rage. Il était si beau, là comme ça près de moi. Mais il me chassait! Je ne pouvais pas l'accepter! Je plongea mon regard embué par les larmes dans ses yeux et déclarais faiblement:
-Je devrais y aller; ça vaut mieux pour nous deux je crois. Si il y a toujours un "nous deux" bien sur...
Je me retournais et marchais doucement vers la porte. Je l'ouvris et me tournais une dernière fois vers Damon pour le regarder.

Damon bondit en avant, et je sentis mon coeur faire  de même. Allait-il me retenir ou justement fermer la porte derrière moi? Il m'attrapa par les épaules et me tourna vers lui. Ses yeux bleu profond me firent frissonner mais je ne montrais aucuns signes de faiblesses, toujours fâché qu'il me jette ainsi. La porte se referma sous la main de l'homme et je sentis les battements de mon coeur accélérer encore une fois. Qu'est-ce qu'il pouvait m'énerver à me faire tant d'effet! Il posa ses douces lèvres sur les miennes mais je serrais les poings pour résister encore quelques secondes. Puis, quand je compris qu'il ne quitterait pas ma bouche tant que je ne lui montrais pas mon amour, je me laissais aller contre lui. Et quad enfin il sentit que je lui rendais son baiser passionnément, il se détacha de moi pour me murmurer:
- Je te vire pas, j'évite des problèmes supplémentaires qui pourraient s'ajouter à une liste déjà trop longue entre nous.
Cette fin de phrase m'énerva mais je comprenais ses paroles. Je trouvais légitime qu'il me prévienne, il savait qu'il risquerait de se faire virer, ce qui anéantirais nos chances de nous revoir.  Son regard bleu glacé me fit vaciller et pour ne pas perdre la face, je m'avançais vers lui et glissait mes lèvres délicatement sur sa peau, de son cou à ses joues en passant par sa bouche. Puis je lui murmurait doucement à l'oreille:
-Je me fiche pas mal des problèmes Damon.
Je passai mes mains dans ses cheveux et reposais mes lèvres contre les siennes, pour l'embrasser fougueusement. Je le plaquais contre le mur et glissais mes paumes sur ses hanches saillantes. Son corps m'attirait tellement que je ne pus résister à l'envie de passer mes lèvres dans son cou et à lui enlever le T-shirt qu'il venait de passer.  Je passais une main dans son dos, tout en caressant son torse de l'autre et en lui murmurant des mots doux au creux de l'oreille.  J'espérais qu'il cède à mes avances mais je savais bien qu'il me  ferait la moral. Il était comme ça, et puis il craignait que l'on nous découvre. Ce n'était pas en faisant cela que nous aurions des chances d'échapper au regards indiscrets.  Mais je continuais quand même de l'embrasser amoureusement.

Ses mains glissèrent enfin contre mes hanches et un sourire s'étendit sur mes lèvres. Ce moment était la perfection incarnée mais Damon décida d'y mettre fin. Je soupirais en sentant ses lèvres quitter les miennes. Pourquoi fallait-il toujours qu'il soit si parfait? Si résistant à mes avances?
- S'il-te-plaît Katniss... Si tu ne t'en vas pas et qu'on se fait découvrir, ce sera nos derniers instants ensembles, soit-en sûre...
Je le regardais, ébahit par ses paroles. Je savais tout cela mais à vrai dire, comme je l'avais déjà fait remarquer, je m'en fichais. Notre couple n'était pas concret, il ne serait jamais réalisable. C'est pour cela que je restais là, à l'embrasser pour ce qui serait surement la dernière fois.  Je me redressais, et me rhabillais convenablement, rabaissant mon t-shirt légèrement remonté le long de mes hanches. J'attrapais mes escarpins en entendant aboyer le rottweiler et souris  à Damon.
-Tu as raison, j'y vais. Je t'aime...  
Sur ce, je déposais un léger baiser sur ses lèvres et ouvrais la porte. Je tapotais la tête du magnifique chien et sortais de la pièce sans me retourner. Je souriais en marchant tranquillement dans les couloirs interdit aux élèves. Puis je sortais du bâtiment et allait me promener dans le parc remplit par les centaines de personnes étudiant ici. L'un d'eux me fit un signe et je lui souris. Il s'agissait de Baptiste, un de mes ex avec qui je m'entendais particulièrement bien. Après être passé le voir, je remontais dans la salle commune de mon clan et retrouvais ma petite soeur, Cassandra pour que l'on s’entraîne. Tout en lui disant bonjour, je me mis à penser à la nuit que je venais de passer avec Damon et je souris de plus belle. Un de plus sur mon tableau de chasse!