Une personne bien trop désireuse d'amour.... [PV:Myo]

J'étais la, a moitié dans mes pensé, assis, sur une branche, suspendue dans les airs. J'avais deux choix. Sauter, et mourir. Rester, et vivre. Le choix habituel. La question universelle.  Que je me posais tous les jours. Tous n'étais pas perdue, j'avais encore la possibilité de changer, de devenir moi. Mais, personne ne serais la pour me soutenir. Je sortis de mon sac en bandoulière un livre, un livre qui parlait d'une adolescente, amoureuse. Le vent ne soufflais pas, il faisait même presque chaud. Le soleil étais haut, mais les arbres le cachaient. J’eus le temps d'observer le vol romantique des oiseaux, dans le ciel.

Voila a peine 2 jours que j'étais arrivés ici, je me plaisais déjà. Enfin, sans les autres élèves. Je m'étais installer la pour ne pas être dérangé. Le bruit fin des feuilles de mon livre se faisait entendre.

Cependant, il y avais aussi un autre bruit : celui de pas derrière moi. Je poussais un léger soupir, un pris une grande inspiration. J'étais capable de me rappeler de l'odeur des autres personne que j'avais rencontrer. C'étais une fille du feu... Elle sentais comme la chef... Katniss... Katniss Everdeen. je lui parlais, sans relever ma tête de mon livre, et sans la regarder. Je ne savais pas à quoi elle ressemblais, mais ça ne me dérangeais pas.

-Bonjour, Mademoiselle Everdeen. Le temps est bon aujourd'hui, n'est-ce pas? J'ai eu vent des exploits de vos conquêtes, Monsieur Tempis, Handson, Cavanaugh... Et j'en passe. Changeons de sujet. Puis-je avoir l'honneur de connaître vos intentions?

J'ouvrais les yeux pour sentir un affreux mal de tête dans mon crâne. Je ne me souvenais quasiment plus de ma soirée d'hier. J'avais... dansé sur une table, et avait dragué un magnifique jeune homme bruns aux yeux bleus glacés. Euh... Grégoire? Ah non Grégory! Grégory Handson, bras-droit du clan du vent. Il m'avait à moitié trompé de pute en fait. Je passais ma main sur mon front et sentit une petite cicatrice barrer ma peau. Eh Mer...credi! Je me levais précipitamment et courais dans la salle de bain pour m'observer dans le miroir. Je fus horrifié par la vue que j'eus de moi. J'aurais du boulot! J'allais d'abord prendre une douche bien chaude pour me réveillé petit à petit puis lorsque je finis de me sécher les cheveux, je pris une grande inspiration et saisi mon eye-liner. A l'aide d'un grand trait noir, j'allongeais le contour de mes yeux et appliquais ensuite du gloss rouge sang pour grossir légèrement mes lèvres.
Le garçon qui se tenait devant moi dans la forêt était petit avec une crinière noire sur la tête. Pitoyable! Il tenait un livre dans ses mains, encore pire!
-Bonjour, Mademoiselle Everdeen. Le temps est bon aujourd'hui, n'est-ce pas? J'ai eu vent des exploits de vos conquêtes, Monsieur Tempis, Handson, Cavanaugh... Et j'en passe. Changeons de sujet. Puis-je avoir l'honneur de connaître vos intentions?
Je le regardais avec horreur, comment savait-il pour Nathanaël? Ah oui c'est vrai, j'avais fait circuler la nouvelle hier soir, au bar! Toujours aussi vive et plutôt énervée, je l'attrapais par l'épaule et le forçais à me regarder. Je sentais les contractions de ma mâchoire toutes les 5 secondes et la seule envie que j'avais maintenant était de le frapper, mais une chef digne de ce nom ne fait pas ça!
-Oh oui tout va bien, mais pour information, je ne me suis pas encore fait Grégory, j'ai juste passé la soirée avec lui c'est tout! Essaye de te renseigner un peu plus avant de dire des absurdités. En effet, c'est un honneur de me parler, surtout pour des gens comme toi, si bizarre et aussi stupide. A vrai dire, je ne suis pas là pour toi mais juste pour rencontrer mon prochain amant, peut-être s’appellera-t-il Nate ou Adam? Ah non ça c'est toi, désolée!
Je l'avais lâché, et je commençais déjà à tourner les talons pour me remettre dans l'allée principale.

Il baissa la tête et fixa le sol d'un air triste.
-Ex... Excusez-moi, mademoiselle Everdeen, je ne voulais pas vous offenser...
Je soufflais, exaspérée de me faire vouvoyer et en plus d'entendre des excuses. Tous des nazes ici! Sauf Clara, elle seule osait me défier! Je l'entendis chuchoter doucement, surement pour lui même.
-Il a fallut que je me fasse remarquer au deuxième jours... Je comprend maintenant pourquoi ma famille ne voulais plus de moi...
J’espère ne plus passer pour un empotée à l'avenir par rapport au autres élèves... Ce qui est fais avec vous est fais, vous me considérez toujours comme un empotée, je sais ce que je dis. Cela ne fais rien, même mes parents ne voulaient pas de moi. J’espère pour vous que vous allez passer de nombreuses années de bonheur... Mais... Il y a quelque chose que je puisse faire pour vous, affin de réparer la bêtise dite précédemment?

Il releva la tête et me fixa avec une lueur de tristesse profonde dans le regard. Un empoté? Non! Juste un naïf petit jeune homme!
-Je vais t'expliquer un truc chéri. Ici, soit tu es un connard et tu arrives à faire face, soit tu te fais démolir. Nouveau ou pas!
Faire peur, souffrir, blesser. Tellement de travail amusant ici!
-Oh oui et n'oublie pas, les secrets ne sont pas accepté dans ce lycée alors évites dans garder pour toi, si tu vois ce que je veux dire...
Je souris hypocritement au garçon et comme toujours je laissais ma main se poser sur son épaule.
-Essaye de faire le bon choix!

Il glissa de son arbre et arriva à ma hauteur.
-Je... Vous savez donc. Le choix que je fais, c'est de devenir moi. Pas comme les autres me veulent. Moi. Pas comme vous, hypocrite, avec l'envie de faire l'amour a tout bout de champs, ni comme mes parents, ou mon frere, qui ne m'ont pas tolérer. Je ne décide pas d'étre ce que l'on veut de moi. Je décide d'etre ce que je suis. Moi. Une fille. Vous allez vous taire a propos de moi. Vous ne voudriez pas que quelque chose de regretable vous arrive!
Il allait me le payer ce petit con! Premièrement, me dire que j'étais hypocrite était vraiment stupide de sa part. Ensuite, me conseiller de me taire me faisait rager. Sans m'en rendre compte j'envoyais mon poing dans sa figure et ouvrais la bouche pour susurrer doucement à son oreille d'une voix froide et intimidante.
-Je ne me tais jamais, il faut que tu le saches. Après, si j'ai envie de coucher avec tout le monde, c'est MON problème et non le tien. Pour finir, tu va surement te faire démolir, mais c'est ton choix fait comme tu veux!
Je serrais la mâchoire et me retournais pour partir.